Caroline TARIS -
APPRENDRE A DEVENIR ET A RESTER MINCE, DEFINITIVEMENT
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Faisons connaissance

Qui suis-je ?
En 2012, après 10 ans d’une vie professionnelle très stressante, je décidai de commencer à quitter mon métier d’entrepreneure, qui ruinait ma santé et ne m’épanouissait plus, pour m’orienter vers les pratiques de bien-être. Mais quand on est chef d'entreprise, ce n'est pas aussi simple de démarrer une telle démarche. J’ai cependant débuté un long chemin qui a duré plus de 6 ans pour parvenir à sortir de cette vie professionnelle dans laquelle je n'étais plus heureuse, trouver ma voie et pouvoir me former à un nouveau métier.
Ayant été moi-même coachée durant toute ma vie professionnelle et en ayant expérimenté les bénéfices, je me suis d’abord formée au COACHING, grâce à la formation de Vincent Leanhardt, pionnier des métiers du Coaching et du Team building en France depuis 1988, auteur de plusieurs ouvrages sur le changement, l'intelligence collective et la relation d'aide.
Armée de cette nouvelle compétence, et le temps de finaliser mes formations en énergétique traditionnelle chinoise à Bordeaux , j’ai pu exercer un métier de conseil dans l’accompagnement au changement et en percevoir tous les enjeux, toutes les résistances. Durant ces 5 années, j'ai accompagné plus de 280 chefs d'entreprises et confirmé cette passion pour l'accompagnement au changement.
Aujourd’hui, coach certifiée depuis 2014 (RNCP Niveau II, NSF 315 P), praticienne en énergétique traditionnelle chinoise, pratiquante du jeûne intermittent depuis 2011, je mets tous ces outils de bien-être au service des personnes que j'accompagne.
Ma spécialité : impulser les changements de mode de vie et d'habitudes qui améliorent l'hygiène de vie, et plus spécifiquement la perte de poids, dans une optique de longévité.
Mon public de prédilection : les femmes
Ma petite touche personnelle : faire de ces moments de vie que je partage avec mes client(e)s, des moments de bonne humeur, de douceur et de retour à soi. Perdre du poids, c'est un travail tant sur le corps que sur l'esprit. Et lorsque le corps change, l'esprit suit. Une perte de poids importante est souvent un moment de remise en question personnelle, professionnelle, de transition, car souvent la prise de poids au fil des années est une forme de démission, de "mise en jachère" de son corps. Vouloir perdre du poids, c'est à nouveau s'occuper de soi, se retrouver et cela passe parfois par des périodes de doute, de déséquilibre transitoire qu'il faut savoir accueillir et accompagner.
Ma plus grande satisfaction : voir les inconforts physiques et émotionnels s'envoler en même temps que les kilos.

Mon histoire, mon point de vue, mon Manifeste
Il y a quelques années, dans une revue posée sur la table basse de la salle d'attente d'un médecin, j'ai lu par hasard une phrase qui a profondément bouleversé mon rapport au monde, mes ambitions, et la vision de ce que j'allais faire de ma vie. Cette phrase, d'un philosophe indien disait ceci :
"Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade."
Elle m'a fait l'effet d'un choc, comme une vérité fondamentale qui m'apparaissait avec une clarté inouïe : comme moi à cette époque, notre société moderne était malade. Et je m'étais rendue malade à tenter de m'y adapter ?
Malgré ses progrès remarquables, elle m'amenait à suivre un modèle et des schémas qui me déconnectait systématiquement de mes besoins biologiques les plus essentiels : sommeil, lumière, mouvement, nature ... Et lorsque j'y pensais et regardais autour de moi, je n'étais pas certainement pas la seule dans ce cas.
Pour la première fois, je remettais en question ce que la bonne élève en moi s'était toute sa vie appliquer à suivre : un modèle social qui valorisait un rythme, une performance, des comportements et des priorités qui nous menaient collectivement vers l'épuisement et la maladie.
Mais avant de vous raconter mon histoire et comment et pourquoi cette phrase a changé ma vie, je vais vous raconter un petit bout de l'histoire de notre évolution humaine.
UN CERVEAU PREHISTORIQUE QUI NOUS EMMENE A L'ABATTOIR :
Lorsque nous étions des femmes et des hommes préhistoriques, le groupe était notre planche de salut.
🛟 Pendant des millénaires, notre survie en dépendait. Être intégré signifiait la sécurité, la protection et des ressources partagées. Nos cerveaux se sont ainsi adaptés à rechercher sans cesse des récompenses sociales et environnementales pour assurer la survie collective.
🧠 Aujourd'hui, nous ne vivons plus vraiment à l'époque des tigres à dents de sabre et des peaux de bêtes, nos conditions de vie ont radicalement changé.
Pourtant, notre cerveau, lui a gardé le même fonctionnement.
📓 Sébastien Bohler en parle dans son le livre "Le Bug Humain"
Il y explique que nos circuits de récompense – notamment ceux régulés par le striatum et la dopamine – ont été conçus pour répondre aux 5 besoins fondamentaux d'hommes et de femmes préhistoriques :
- Manger
- Se reproduire
- Asseoir du pouvoir
- Acquérir de l'information
- Fournir le moindre effort
Ces circuits, tout comme le fait de se conformer au diktat du groupe, qui étaient essentiels à notre survie dans un contexte ancestral, nous poussent aujourd'hui à des comportements excessifs :
- 🍔 Dans un environnement où la nourriture est abondante, en permanence disponible et hypercalorique, on mange trop
- 🧑💻 Dans un monde où médias et réseaux sociaux nous abreuvent de prêt-à-penser et stimulent nos circuits de la dopamine en nous vendant un modèle social consumériste, on s'enferme dans des schémas de comportements passifs éteignant notre ambition d'évolution, à coup de "Carpe diem", de "Yolo", de "One life" !
- 😴 Le besoin de fournir le moindre effort, autrefois avantageux pour conserver l'énergie et donc survivre plus assurément, nous rend sédentaires et paresseux.
- 🚨 Il faut ouvrir les yeux : la logique de conformité au groupe, autrefois vitale, nuit à notre santé globale et nous emmène à l'abattoir.
Car pour accéder à cette surconsommation si attrayante, à cette sédentarité si réconfortante, à ce confort si addictif, il faut souvent accepter de nier nos besoins biologiques les plus fondamentaux (besoin de lumière, de repos, de proximité à la nature, d'activité physique, de régénération, respects de nos rythmes biologiques...) au profit d'un productivisme nuisible à notre santé et obésogène.
Car, la chasseuse-cueilleuse ou le chasseur-cueilleur qui jadis parcourait 5 à 10 km de marche quotidienne, se reposait quand il voulait, mangeait quand il trouvait de la nourriture, passe aujourd'hui, des heures assis(e) sur une chaise derrière un ordinateur ou sur un smartphone, mange beaucoup trop de produits transformés, boit beaucoup trop d'alcool, consomme beaucoup trop d'anti-dépresseurs, d'anxiolytiques, de cigarettes etc..etc ...
Car ce mode de vie, non content de nuire à notre santé physique, nuit aussi à notre santé mentale.
RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL
🚪Mais bon, finalement, est-ce que je n'enfonce pas là une porte ouverte ?
On le sait déjà tout ça. Pas la peine de vous assommer de stats, on le voit autour de nous, il n'y a qu'à ouvrir les yeux : les cancers de plus en plus jeunes, le surpoids et l'obésité de plus en plus fréquente et de plus en plus précoce, les maladies auto-immunes, les burn out, les dépressions qui explosent....
On le sait, mais alors, pourquoi ne fait-on rien ?
Eh bien, je vais vous le dire : parce qu'on a la FLEMME !
Et puis :
- parce qu'on ne s'en rend pas toujours compte, tellement on est englué dans ce système
- parce que, quand on s'en rend compte, on préfère ne plus y penser, et fermer les yeux
- et parce que changer de mode de vie, c'est long, et que c'est marginalisant (donc effrayant de ne plus faire partie du groupe)
La vérité que personne n'ose vous dire c'est que la médecine fait un travail remarquable, mais elle ne peut pas vous sauver de vous-même. Après avoir accompagné des centaines de femmes au bord du précipice, j'ai constaté une chose : celles qui réussissent vraiment à embrasser durablement des ahbitudes de vie plus saines ne sont pas celles qui collectionnent les avis médicaux, les méthodes ou les régimes - ce sont celles qui décident enfin de sortir de la passivité et de prendre leur santé en main.
Pour autant, il faut parfois être allée dans le mur pour le comprendre et je vais vous raconter pourquoi j'en suis la preuve vivante.
JE L'AVOUE, J'AI PAS TOUJOURS ETE "LA QUEEN DE LA SANTE INTEGRALE"
- Enfant, j'avais une santé très fragile. Asthmatique, j'étais tellement souvent malade que j'allais très peu à l'école. J'ai passé une grande partie de mon enfance à écouter des livres-disques, à faire des puzzles, à patienter dans les salles d'attente des médecins ou encore en cure thermale dans le Massif Central.
- À 28 ans : J'ai souffert d'une maladie inflammatoire polyarticulaire (affectant mes mains, coudes et épaules). Après de nombreux examens, traitements médicaux (notamment la prise VIOXX, qui, quelques mois après le démarrage de mon traitement, s'est trouvé au coeur d'un scandale international et retiré du marché), mais surtout après une quantité phénoménale de recherches personnelles et d'auto-expérimentations, j'ai finalement identifié les produits laitiers (qui occupaient une place très importante dans mon alimentation) comme la source de mon problème. L'arrêt de ces produits a conduit à une disparition rapide et définitive des inflammations et des douleurs articulaires.
- Quelques années plus tard, durant ma trentaine : J'ai été une cheffe d'entreprise extrêmement stressée et hyperactive. Mon quotidien, pendant 10 ans, était celui de beaucoup de personnes, rythmé par des défis professionnels et personnels intenses et des problèmes de santé récurrents, des problèmes ORL très fréquents, mais surtout de sévères maux de ventre, quotidiens, et à une fatigue écrasante. Mettant en pratique la même démarche personnelle que précédemment et après avoir fait le tour des solutions médicales infructueuses, ils se sont finalement résolus en éliminant définitivement le gluten de mon alimentation.
- Ces expériences de vie ont commencé à m'ouvrir les yeux. J'étais bien de plus en plus malade de mon mode de vie (trop de sandwichs et de repas sur le pouce, trop de travail, trop de pression, trop de mojitos et de dîners entre amis pour oublier la dureté et l'insatisfaction de ma vie professionnelle, trop de vacances aux programmes trop chargés, à l'autre bout du monde dont je revenais encore plus épuisée ), j'allais dans le mur. J'étais à bout de force et la santé de mon entreprise s'en ressentait autant que la mienne. J'avais 40 ans, mais je me sentais la vitalité d'une femme de 80. J'étais cramée par le stress de mes responsabilités, les déplacements professionnels et je ne me voyais pas tenir longtemps à ce rythme.
- J'ai donc commencé à remettre tout en question : mes standards de réussite, mon rapport à l'argent, l'illusion de l'intensité et surtout mon mode de vie. Pas seulement mon alimentation, mais également, ma consommation d'alcool que j'ai réduite à zéro, ma suractivité sociale (sorties, invitations, réseaux ...).
Et surtout, le plus gros dossier : je devais changer ma vie professionnelle. Et là, la transition n'allait pas être facile, j'avais tellement d'engagements : des emprunts sur ma société, sur ma maison, des salariés, des clients, des stocks. Comment arrêter cette machine que j'avais créée ?
- Cette transition professionnelle m'a pris 8 longues années durant lesquelles j'ai géré la fin de ma vie d'entrepreneur, repris des études de coaching et de médecine traditionnelle chinoise, pour me reconvertir et commencé une refonte profonde de ma vie : plus de simplicité, une vie sociale divisée par 5, une alimentation hyper saine, améliorée au fil du temps, plus d'alcool, plus de personnes toxiques.
- Et puis, en 2021, enfin, j'ai abouti à ce que j'avais en tête (enfin, c'est ce que j'ai cru... PETIT TEASING ). Mon IDEAL professionnel : un métier au service de ma vision de la santé et de longévité. Je suis devenue coach en amincissement en compilant mes connaissances théoriques de médecine traditionnelle chinoise que je venais d'étudier pendant 5 ans et demi et ma pratique d'"exploratrice et d'aventurière de la transformation personnelle".
- Partant du constat que le surpoids est souvent la partie émergée de l'iceberg qu'est un style de vie délétère et obésogène, lui-même préambule des problèmes de santé et de vieillissement prématuré, j'ai créé une méthode d'amincissement basée sur la médecine traditionnelle chinoise et le jeûne intermittent. Les résultats ont été immédiats, les clientes perdaient du poids et mon cabinet et mon agenda ont commencé à se remplir, se remplir, se remplir 🤯.
Et c'est là, que tout s'est, à nouveau, emballé...
CHASSEZ LE NATUREL, IL REVIENT AU GALOP !
- C'est alors que les problèmes de sommeil, initialement épisodiques, sont devenus chroniques. Je mettais tellement d'énergie à accompagner mes clientes, que je suis repartie dans mes travers : les journées à rallonge qui commençaient à 7h30 et finissaient après 20h, pas plus de 8 jours de vacances d'affilée, le portable toujours sous les yeux, les SMS jusqu'à 22h, une charge mentale permanente, le tout assorti d'un superbe syndrome du sauveur.
- Et c'est ainsi qu'en 2023 et début 2024, ma vie est devenue un enfer à cause des insomnies : des semaines avec 1 à 2 nuits blanches, des nuits de 3 à 5 heures en moyenne ont progressivement eut raison de mon dynamisme et de ma joie de vivre. J'ai commencé à faire des crises d'angoisse, à souffrir de pertes de mémoire et de concentration, je perdais tout le temps mes affaires, j'oubliais mes rendez-vous ou je donnais 2 rendez à la même heure. J'allais parfois bosser en ayant dormi 1 ou 2h.
- Et le 18 Août 2024, ce fut le point culminant avec un stupide accident, dû à l'inattention elle-même dûe à mon épuisement et aux somnifères, qui m'a laissée 2 mois en fauteuil roulant.
- Finalement, face à ce point de rupture et après 2 épreuves familiales majeures sur un laps de temps très court, en Novembre 2024, à 49 ans, j'ai pris la décision lourde d'arrêter de travailler pour me dédier entièrement à la réparation de mon sommeil.
- Toujours très attentive à mon hygiène alimentaire qui depuis toutes ces années faisait désormais partie de mes habitudes ancrées, je repris le sport quotidiennement, la marche en forêt quotidiennement aussi, le travail de la respiration et la réduction du stress. Je me suis équipée d'une bague connectée, j'ai tenu un journal pour y consigner mes évolutions, mes pensées, mes résultats et j'observe aujourd'hui une amélioration progressive mais spectaculaire et mesurable de mon sommeil, de ma vitalité et de mon bien-être général.
AUJOURDHUI, CE QUE JE VEUX C'EST : PARTAGER ET TRANSMETTRE
Tout ce chemin m'aura pris 22 ans ! J'avoue que si j'avais pu prendre quelques raccourcis, je les aurais pris volontiers.
Aujourd'hui, je ne crois pas, je SAIS :
1 - que des mécanismes archaïques guident nos comportements, et qu'ils génèrent souvent des conséquences négatives pour notre santé.
2 - que la santé est une priorité absolue et que l'on ne s'en rend souvent compte que lorsqu'on la perd.
3 - qu'en faire une priorité est quasi systématiquement incompatible avec les schémas de réussite sociale et professionnelle du dogme productiviste et consumériste de notre époque
4 - que cette quête et cette priorité de santé est marginalisante, qu'elle n'est pas LA norme collective
5 - que le "groupe" n'est pas forcément l'ennemi, et qu'au contraire il peut enrichir notre chemin de transformation quand on le choisit avec soin. "nous sommes la moyenne des personnes avec qui nous passons le plus de temps"(Jim Rohn). Choisissez donc ces personnes comme si votre santé en dépendait - car c'est le cas.
6 - que dès que nous nous déconnectons de nos besoins primaires élémentaires, de notre animalité, de ce pour quoi notre corps a été conçu, il souffre et se dégrade prématurément.
7 - que la technologie et le bio-hacking offrent des outils formidables pour mesurer et suivre nos performances de santé. car "ce que l'on suit s'améliore".
8 - que je ne souhaite plus accompagner des personnes qui veulent que ça change mais sans rien changer, mais des personnes qui cherchent à entamer une transformation profonde dans une optique de vitalité, de longévité et d'auto-préservation.
9 - que cela passe par la transformation intentionnelle de leur style de vie telle que je l'ai moi-même expérimentée.
Car mon parcours d'exploration m'a appris une chose essentielle : chacun de nous possède une biologie unique, tout en partageant certains besoins fondamentaux universels.
Ce que je partage avec vous n'est pas une vérité absolue, mais UNE carte que j'ai dessinée en traversant mon propre territoire - une carte qui, je l'ai constaté en accompagnant de très nombreuses femmes, révèle des chemins souvent, eux aussi, universels.
Si cett histoire vous parle, recontrons-nous pour que je vous accompagne dans VOTRE histoire à vous
